Cet article traite du refus du président de la Chambre des communes de faire traduire les discours dans des langues autochtones, soutenant que cela va à l’encontre du processus de réconciliation et qu’il est grand temps que la Chambre des communes s’occupe de ces traductions.
Lisez l’article, publié sur le site Web d’Olthuis, Kleer Townshend, s.r.l. (uniquement en anglais)