John Hoyles, le président et chef de la direction de l’ABC, s’est vu décerner le Prix d’excellence du Forum ABC Mieux-être, qui lui a été remis le 7 novembre lors de l’atelier annuel du Forum. Le Prix honore un individu qui s’est appliqué à assister les juristes et qui s’est démarqué par ses connaissances, sa compassion et sa volonté d’améliorer la vie des avocats et des avocates.
[Traduction] « John a travaillé sans relâche pour rehausser le profil du groupe. Plus récemment, il a joué un rôle essentiel dans la concrétisation du cours en ligne sur la santé mentale et le bien-être dans la profession juridique », a déclaré la présidente de l’ABC, Janet Fuhrer.
Si l’on remonte à 2011, John Hoyles a joué un rôle essentiel pour rapatrier l’exploitation du programme de Bien-être (l’ancien Programme d’aide aux juristes, PAJ) à Ottawa pour qu’il puisse cohabiter avec le reste des programmes de l’ABC. Profitant du soutien et de l’attention qu’il méritait et dont il avait besoin, le programme s’est épanoui dans son nouvel environnement.
John Hoyles a aidé à établir des relations avec des groupes tant au sein de l’ABC qu’à l’extérieur, y compris l’Association d’assurances du Barreau canadien, l'Association d'Assurance des Juristes canadiens et Oslers, pour garantir un financement homogène et stable. Il a été le champion du PAJ au sein de l’ABC et à l’extérieur et a tissé des liens solides avec la communauté de la santé mentale.
En 2012, il a dirigé l’élaboration d’un sondage national réalisé auprès des juristes au sujet de la santé et du bien-être dans la profession. Les résultats de cette enquête ont permis au PAJ de déterminer les outils qui seraient les mieux adaptés à la profession et ont aidé à améliorer la santé et le bien-être des juristes en général. Les résultats ont, en outre, été largement utilisés dans tout le pays et ont servi de base du cours en ligne.
Plus récemment, les efforts de John Hoyles ont porté sur la création du cours en ligne sur la santé mentale et le bien-être au sein de la profession juridique. Il a obtenu un financement suffisant auprès des barreaux et a aidé à mettre en place des partenariats avec la Société pour les troubles de l'humeur du Canada et Bell Cause pour la cause.