En règle gĂ©nĂ©rale, les participants Ă une fiducie voudront se prĂ©parer au 21e anniversaire de celle-ci et Ă la disposition prĂ©sumĂ©e qui se produira alors. Toutefois, il peut arriver que leur planification entraĂ®ne des consĂ©quences inattendues. Cet article porte sur une dĂ©cision de la Cour supĂ©rieure de justice de l’Ontario. L’affaire concernait une demande d’allègement qu’ont dĂ©posĂ©e des contribuables parce que certains aspects de leur planification en vue du 21e anniversaire de leur fiducie ont crĂ©Ă© des rĂ©percussions fiscales non souhaitĂ©es. La Cour s’est penchĂ©e sur des questions de compĂ©tence, de mesures de redressement dĂ©claratoires et de rectification. La fiducie avait distribuĂ© des actions aux bĂ©nĂ©ficiaires, ceux-ci ayant ensuite transfĂ©rĂ© leurs actions dans de nouvelles sociĂ©tĂ©s. En Ă©change, les bĂ©nĂ©ficiaires ont reçu des actions sans droit de vote, mais il existait aussi une autre catĂ©gorie d’actions convertibles. Cette opĂ©ration ayant toutefois occasionnĂ© des consĂ©quences nĂ©gatives, les porteurs des actions convertibles ont tentĂ© de dĂ©montrer qu’ils ne les dĂ©tenaient pas rĂ©ellement. En vain.
Le jugement a Ă©tĂ© portĂ© en appel depuis la publication de l’article initial; il est toujours en instance.
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Cet article est d’abord paru dans le bulletin Tax Topics de Wolter Kluwer. Il est republiĂ© avec la permission des auteurs.
Brian Nichols et Kelsey Horning de Goldman Sloan Nash & Haber LLP, Ă Toronto. Brian Nichols exerce le droit par l’entremise de la sociĂ©tĂ© professionnelle Brian Nichols.