Cet article a initialement Ă©tĂ© publiĂ© sur le site Web de Cox & Palmer (en anglais) et est rĂ©imprimĂ© avec l’autorisation du cabinet.
« J’aimerais tout simplement ĂŞtre payĂ©. »
Ă€ juste raison. Vous travaillez toute votre vie pour obtenir des rĂ©fĂ©rences, pour dĂ©crocher un poste et pour bâtir votre rĂ©putation. Vous avez dĂ» crĂ©er vos propres occasions d’affaires. Personne ne vous a donnĂ© ce contrat; vous avez dĂ» vous mesurer Ă d’autres personnes avant de l’obtenir. Vous avez rassemblĂ© des professionnels compĂ©tents (après les avoir convaincus de vous faire confiance et de rester dans la province, car il ne faisait aucun doute qu’une occasion se prĂ©senterait), et vous avez accompli le travail dans les dĂ©lais prescrits (lorsque vous tenez compte du temps que votre client vous a fait attendre d’entrĂ©e de jeu). Il est juste que la « facture » que vous avez envoyĂ©e soit maintenant un « compte client », bien que vous ayez attendu le paiement pendant 30, 60 ou, trop souvent, 90 jours, si ce n’est plus de temps encore.
Partout au pays de nos jours, les milieux juridiques parlent de « paiement rapide » ou, plus prĂ©cisĂ©ment, de « paiement rapide et arbitrage ». Le terme est certainement intĂ©ressant : imaginez non seulement ĂŞtre payĂ© pour votre travail, mais ĂŞtre payĂ© rapidement, presque automatiquement. La plupart des entreprises du secteur de la construction seraient ravies de recevoir leurs paiements dans des dĂ©lais raisonnables et prĂ©visibles. Cependant, comme tout le reste, cela ne se produit pas automatiquement : vous devez prendre des dispositions pour faire qu’il en soit ainsi.
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Richard Gosse est associĂ© chez Cox & Palmer Ă St. John’s et est prĂ©sident de la Section du droit de la construction et des infrastructures de l’ABC-TNL.