Dans cet article, l’auteur présente l’argument voulant que les règles opaques en matière de propriété et la passivité des agences gouvernementales chargées de surveiller le marché immobilier aient contribué à faire de celui-ci un moyen attrayant pour le blanchiment d’argent. Cet article est une adaptation d’un chapitre du rapport No Reason to Hide: Unmasking the Anonymous Owners of Canadian Companies and Trusts, publié par Transparency International Canada en 2016.
Cet article est disponible uniquement en anglais.