Most people agree that law is a profession while, at the same time, lawyers must act in a businesslike manner. Clients, in fact, demand this. Thus, there is no room for debate (as there was in previous years) about whether lawyers are professionals or business folks. They’re both.

Kathleen Robichaud, qui exerce seule le droit à Manotick (Ontario), examine les comptes en fidéicommis et les façons dont ces derniers peuvent être mal gérés lorsque les juristes ne les suivent pas d’assez près.

Jean-Charles Grégoire, avocat auprès de Marks & Clerk Canada, présente le contexte au moment où le Canada se prépare à mettre en œuvre le Traité sur le droit des brevets, dont l’objectif est d’harmoniser les procédures officielles régissant les demandes de brevet.

De nos jours, il suffit de 140 caractères diffusés sur Twitter par la bonne personne pour réduire la réputation d’un avocat à néant, selon Carolyn Elefant, auteure du blogue myshingle.com. Puisqu’il n’y a tout simplement aucun moyen d’empêcher les clients mécontents de se servir de Twitter afin de s’en prendre à leur avocat ou leur avocate, Me Elefant propose quelques conseils sur la façon d’y répondre.

Le fait de quitter votre petit cabinet ou votre pratique indépendante c’est un peu comme faire de l’acrobatie. Jocelyn Frazer, ombudsman en équité et conseillère en matière de pratique auprès du Barreau de l'Alberta, propose une série de listes de contrôle afin de vous aider à partir du bon pied et à vous souvenir de faire toutes les choses requises, que vous décidiez de vendre votre cabinet ou de fermer boutique pour de bon.

Les dossiers d’un cabinet d’avocats sont pris en otage par un logiciel malveillant dans le but d’obtenir une rançon. C’était le fil conducteur d’un intéressant épisode de l’émission The Good Wife cette année, mais ce phénomène se produit en réalité plus fréquemment qu’on ne le pense, même au sein de cabinets de taille modeste et auprès de juristes travaillant à leur propre compte ici au Canada. James Careless expose le problème et discute des solutions possibles.

Les nouvelles technologies et la nature changeante des milieux de travail font en sorte que les juristes exerçant seuls ou dans de petits cabinets ont une multitude de choix quant à l’établissement d’un bureau : bureau à domicile, bureau partagé avec d’autres professionnels et bureau virtuel, auquel on peut accéder à partir d’à peu près n’importe où. Ce qui importe, c’est de trouver celui qui vous convient le mieux, explique Carolynne Burkholder-James.

Faites l'examen critique de votre vitrine sur la Toile.

Diverses circonstances peuvent vous amener – ou amener d’autres personnes – à gérer la cession ou la fermeture de votre pratique : le passage à un autre cabinet, le départ à la retraite, une maladie ou une mort subite.

Entre les ordinateurs blocs-notes et les récemment abandonnés Xircom (Intel) Rex, de la taille d'une carte de crédit (mais un peu plus épais), l'équipement d'informatique mobile est fort varié dans les grands cabinets juridiques.