Dans le milieu commercial, on assimile de plus en plus la technologie au vinaigre de cidre de pomme; c’est-à-dire que les revendications quant à son usage curatif se multiplient tous les jours. N’empêche que la technologie peut véritablement vous sortir du pétrin. James Carless s’entretient avec quelques avocats ayant vécu des situations qui auraient pu leur laisser un arrière-goût amer, n’eût été la technologie à la rescousse.

Il ne s’agit pas tout simplement de distribuer votre carte professionnelle à qui que ce soit et de vous croiser les doigts. Carolynne Burkholder-James offre des conseils aux lecteurs afin de tisser des liens qui vous rapporteront de bonnes choses.

La recherche fait partie intégrante des tâches du juriste. Cependant, lorsque vous ne disposez pas de tout un contingent de techniciens juridiques ou de stagiaires pour la faire, elle peut occuper un temps précieux qui serait plus utilement consacré à effectuer vos autres tâches. C’est là que l’analyse juridique par logiciel, un domaine en plein essor, peut vous aider, dit James Careless.

Soyons réalistes, les gens n’embrassent pas une carrière juridique parce que ce sont de bons comptables. Et nous savons bien que les petits cabinets n’ont tout simplement pas les ressources nécessaires pour établir leur propre service de comptabilité. Alors que doit faire un juriste exerçant seul?

Grande ville, grand cabinet. Petite ville, petit cabinet. Et chacun reste de son côté de la barrière. Sauf que… parfois, il peut être judicieux de regrouper les ressources et le savoir-faire du grand cabinet avec l’accès aux communautés particulières et leur connaissance qui sont l’apanage du petit cabinet pour tirer le meilleur profit des deux mondes. Voyons comment on peut y parvenir.

Quand on se paie soi-même, on a souvent l’impression que chaque moment consacré à faire autre chose que de générer des revenus représente une perte financière. C’est motivant d’y croire, certes, mais ce n’est pas nécessairement juste, surtout si les heures facturables vous empêchent de réaliser des activités non rémunérées, mais tout aussi importantes. Nous avons des conseils qui vous aideront à trouver l’équilibre.

Selon la sagesse populaire, la famille dont les membres partagent les divertissements est une famille unie… mais qu’en est-il d’une famille dont les membres partagent le travail? C’est un peu plus compliqué. Le succès dépend largement de l’emploi de chacun par rapport aux autres et de leur dynamique de travail.

Tout comme il existe un certain nombre de raisons pour lesquelles les parties comparaissent sans représentation juridique, il existe un certain nombre de façons de traiter avec la partie comparaissant en personne afin de protéger les intérêts de votre client, et les vôtres. Carolynne Burkholder-James se penche sur la question.

Observés du seul point de vue des principes fondamentaux du commerce, les cabinets juridiques sont étonnamment semblables au dépanneur du coin : ils doivent au moins essayer d’offrir aux clients ce qu’ils veulent à un prix compétitif ou ces clients se fourniront ailleurs. Le problème est que la plupart des gens ne se dirigent pas vers la profession juridique en raison de leur sens des affaires hors du commun.

Les dettes sont une réalité pour les juristes exerçant seuls ou en petits cabinets qui, comme toute entreprise, ont parfois besoin de l’argent d’autrui pour aider à acquitter leurs factures. Cependant, un endettement trop profond peut rendre un cabinet insolvable et l’obliger à fermer ses portes. Le défi se résume à trouver un juste équilibre.