L’an dernier, ma prédécesseure à la présidence de l’Association du Barreau canadien, Vivene Salmon, a souligné le Jour de l’émancipation en exhortant les juristes « à réfléchir à la manière dont la loi se faisait complice du maintien de l’esclavage et à penser sans préjugés au legs de l’esclavage qui perdure encore dans nos systèmes juridiques, économiques et sociaux ».